[Le grégorien et nous] : aller au-delà d’une apparente aridité (1/3)
Chimène a mis du temps avant d’apprécier le plain-chant grégorien, longtemps déconcertée par l’unisson qui le caractérise. Jusqu’à ce qu’elle découvre que chaque syllabe comptait plusieurs souffles, et d’une certaine façon différentes voix.